Conclusion
Nous arrivons maintenant au terme de ce cours d’initiation à Terraform. Durant notre parcours, nous avons appris à structurer un projet complet qui permet de déployer une machine virtuelle dans Microsoft Azure, en définissant clairement les ressources nécessaires, les variables associées et les options de configuration adaptées à différents contextes.
L’ensemble des fichiers a été rédigé en s’appuyant sur les meilleures pratiques de la communauté Terraform, tout en introduisant les éléments fondamentaux du langage HCL. Ce tutoriel a également été l’occasion de comprendre comment déclarer des variables externes, comment organiser la configuration pour la rendre modulaire et maintenable et comment utiliser des provisionneurs pour exécuter automatiquement des commandes dans la machine déployée.
Après avoir effectué le déploiement, nous avons testé notre configuration en nous connectant à la VM créée que ce soit depuis un poste Linux ou Windows, puis nous avons procédé à sa suppression avec la commande terraform destroy, rappel utile qu’en phase d’apprentissage comme dans un environnement de production, savoir effacer proprement ce que l’on crée est tout aussi important que le déploiement lui-même.
Cette mise en pratique complète aura permis non seulement de manipuler les commandes fondamentales de Terraform, mais aussi de mieux comprendre l’état d’esprit derrière l’Infrastructure as Code. Il ne s'agit plus de se contenter de déployer à la main des ressources isolées : nous devons penser en termes de blocs réutilisables, de logique déclarative et de cycles de vie maîtrisés de composants d'infrastructures.
Pour aller plus loin, nous vous invitons à explorer des concepts plus avancés comme les modules, les workspaces, les backends distants ou encore l’intégration de Terraform dans des pipelines CI/CD, autant de pistes pour affiner et professionnaliser vos déploiements.
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Un dépôt GitHub avec les fichiers de ce cours est disponible à l'adresse suivante :
